Foire aux questions

Pour adhérer à l’Association des psychologues du Québec, vous devez remplir une fiche d’informations en ligne et vous acquittez des frais. Vous recevrez par la suite un courriel de confirmation d’adhésion dans un délai de 5 à 7 jours ouvrables.

Afin de vous aider à adhérer en ligne, vous pouvez consulter notre guide d’adhésion.

Vous retrouverez toute la procédure pour accéder à notre espace membre en consultant notre guide de connexion.

Le coût est calculé au prorata des mois restants à partir de votre adhésion jusqu’au 30 septembre selon le tableau figurant dans les services et avantages. Il est important de savoir que le rabais sera appliqué seulement si vous renouveler votre adhésion l’année suivante. Ex : vous adhérez en mars, un rabais de 40 % sera appliqué si vous renouvelez votre cotisation le 1er octobre.

Vous bénéficiez de trois mois pour payer votre cotisation annuelle. Aucun escompte n’est accordé pour le paiement en retard, la totalité du montant dû sera exigé peu importe le moment du paiement. Une fois payée, la cotisation n’est pas remboursable.

Non. L’assurance « Frais disciplinaires » est un service qui se traite séparément et payant, mais vous devez tout d’abord être membre pour y souscrire. Pour information, veuillez communiquer avec le courtier BMS à l’adresse https://www.psychology.bmsgroup.com/fr/accueil.html.

Cependant, vous avez droit à une demi-heure de consultation gratuite avec un.e avocat.e spécialisé.e dans les questions disciplinaires, dès que vous êtes membre de l’Association. Même sans avoir souscrit à l’assurance. 

Non. La seule assurance obligatoire auprès de l’Ordre des psychologues est l’assurance responsabilité professionnelle, au cas où vous causeriez un dommage (préjudice) à un.e client.e par un acte professionnel ou une négligence (indépendamment des questions déontologiques). Vous payez cette assurance à chaque renouvellement de votre cotisation à l’Ordre des psychologues. L’assurance de l’Ordre n’a rien à voir avec d’éventuels frais disciplinaires en cas d’enquête du Bureau du syndic.

Oui.  Lorsque vous apprenez que le Bureau du syndic enquête à la suite d’un signalement à votre sujet, contactez-nous afin d’être orienté.e quant aux démarches à suivre et d’obtenir du soutien.  Nous vous recommanderons notamment de consulter également un.e avocat.e dont nous vous fournirons la référence. De plus, un membre du c.a. vous offrira du soutien téléphonique ou par téléconférence.

  • Me Julie Chenette : 514 303-1099.
  • Me Martin Courville : 450 286-0121.
  • Me Robert Brunet : 514 845-6221.

Lorsque vous êtes membre de l’APQ, vous avez droit à une demi-heure de consultation gratuite avec un.e avocat.e spécialisé.e dans les questions disciplinaires.  Ensuite, si vous n’avez pas l’assurance « frais disciplinaires » que nous offrons, vous devrez bien sûr payer vous-même les honoraires de votre avocat.e.

Oui, si vous êtes membre retraité de l’APQ, vous avez droit à l’assurance pour frais disciplinaires.  Cela est recommandé, car le syndic pourrait traiter un signalement à votre endroit des années après l’arrêt de votre pratique; il en a le privilège. La prime d’assurance est la même que pour un.e membre régulier.ère. Cependant, vous devez déjà au préalable avoir été détenteur.trice de l’assurance pour profiter de ce produit une fois à la retraite. 

Vous pouvez demander au client ou à la cliente de payer la partie d’honoraires non couverts par la SAAQ, par l’IVAC, par un PAE, ou par une assurance, mais par entente écrite avec le/la client.e.  Vous devez alors émettre un reçu au nom du/de la client.e qui pourra, le cas échéant, le transmettre à son assureur pour remboursement.  

Vous ne pouvez cependant demander cette partie d’honoraires manquante aux client.e.s couvert.e.s par la CNESST. Notons que c’est également interdit pour les services de médiation familiale.

Vous pouvez demander à être payé.e pour vos rapports, d’ailleurs ils sont rémunérés habituellement par le tiers payeur. La rémunération, cependant, est habituellement insuffisante, mais vous ne pouvez demander au client ou à la cliente de compenser le manque à gagner pour la CNESST, mais vous le pouvez pour la SAAQ et l’IVAC. Il vous faut alors, toutefois, une entente écrite à ce sujet avec le client ou la cliente. 

Les tiers payeurs institutionnels, comme la CNESST, la SAAQ et l’IVAC paient le rapport d’évaluation, mais à certaines conditions ; par exemple, il faut que le rapport ait été requis par le tiers payeur. Dans les autres cas, si un.e client.e vous demande de rédiger un rapport ou un résumé de son dossier, ou un formulaire pour un autre professionnel de la santé ou un assureur, vous pouvez lui charger des frais raisonnables.

Vous devez obtenir l’autorisation écrite de votre client.e avant de transmettre des informations à son sujet au PAE. Si le/la client.e refuse, elle ou il devra prévenir le PAE qui demandera possiblement au client ou à la cliente de payer lui-même ou elle-même vos honoraires, et de se faire suivre personnellement sans passer par le PAE. Si le/la client.e signe l’autorisation pour la transmission des renseignements, et qu’un rapport doit être produit, le rapport doit être mentionné textuellement sur l’autorisation.

Nous avons un service de référence, notamment pour trouver un.e superviseur.e.  Vous pouvez également chercher un.e superviseur.e auprès du service de référence de l’Ordre des psychologues lui-même. Suivez bien les spécifications et critères imposés par l’Ordre lors du choix de votre superviseur.e. Car l’Ordre pourrait le refuser.

Oui, les impôts provincial et fédéral accordent une déduction d’impôt pour les frais de santé, dans lesquels sont inclus les frais de psychothérapie, incluant le rapport d’évaluation fait pour la psychothérapie. Le/la client.e doit suivre les guides d’impôt à ce sujet. Il/elle doit conserver ses reçus et les produire seulement s’ils lui sont un jour demandés.

Les services de psychothérapie ne sont pas taxables, puisque ce sont des services de santé exonérés. Les rapports rédigés dans le cadre d’une psychothérapie ne sont pas taxables également, puisqu’ils constituent alors un service de santé.  Cependant, les rapports d’expertise psycho-légale sont maintenant taxables depuis quelques années, car il ne s’agit pas d’un service de santé.

Lorsque vous avez déjà un.e client.e québécois.e, vous pouvez continuer à le/la suivre où que vous soyez dans le monde, ou encore où que soit votre client.e (voyage, déménagement…). Si vous êtes au Québec, vous pouvez suivre un client étranger ou une cliente étrangère d’un autre pays. Cependant, si vous vous installez comme résident.e dans un autre pays, vous ne pourrez suivre de nouveaux clients ou de nouvelles clientes de ce pays ou d’un autre pays tant que votre nouveau pays d’adoption ne vous aura pas donné de permis d’exercice. Tout dépend de l’adresse de résidence officielle de votre pratique professionnelle. Vos client.e.s québécois.es, que vous aviez avant votre déménagement, pourront toutefois continuer à vous consulter s’ils ou si elles le désirent, avec entente écrite, cependant. Alors, par contre, les règles qui s’appliqueront à votre pratique seront celles de votre nouveau lieu de résidence professionnelle.

Vous devez aviser vos client.e.s dans un délai raisonnable (environ deux mois), par écrit, afin d’éviter tout problème. Faites-leur signer une copie de l’avis reçu. L’augmentation doit être raisonnable, ou graduelle. Si un.e client.e est dans une situation de grande vulnérabilité et incapable d’assumer la hausse, ou si elle ou il refuse, vous devez lui permettre un délai d’ajustement plus graduel, et référer le/la client.e au besoin si elle ou il ne peut toujours pas assumer la hausse après ce délai.  Vous pouvez également discuter d’un espacement des séances, à condition qu’aucun préjudice ne soit causé au client ou à la cliente. Plus vous prévenez longtemps d’avance, plus vous évitez les problèmes. Expliquez les motifs de la hausse, non pas pour vous justifier, mais pour aider à mieux comprendre.

Vous devez aviser l’Ordre des psychologues. En mars 2025, suite à des discussions avec l’APQ, le secrétaire général de l’Ordre a publié une chronique dans Psychologie Québec, afin de faire le point à ce sujet. Vous devriez avoir un.e collègue cessionnaire de dossiers (entente écrite obligatoire; formulaire fourni sur le site de l’Ordre) qui s’occupera de s’assurer d’aviser tous vos clients et toutes vos clientes qu’il ou elle sera désormais le/la répondant.e en cas de besoin de copie de dossier, et pour leur donner ses coordonnées.

Si vous cessez d’être membre de l’Ordre des psychologues, vous ne pouvez être votre propre cessionnaire de dossier. Si vous cessez d’exercer, de prendre des client.e.s, mais que vous êtes toujours membre de l’Ordre, y compris avec le statut de membre à la retraite, vous pouvez vous-même assurer la suite des choses avec vos client.e.s. À condition de rester membre de l’Ordre jusqu’à la fin du délai obligatoire de conservation des dossiers (5 ans après le dernier acte professionnel rendu). Notons que même en début de pratique, toutes les psychologues et tous les psychologues doivent déjà s’assurer d’avoir un.e cessionnaire de dossier désigné.e, par entente écrite, en cas d’arrêt soudain et imprévu de votre pratique (maladie grave, décès, déménagement…).

L’Ordre des psychologues a comme mandat de veiller aux intérêts et à la protection de la population. L’Association des psychologues défend les droits, les privilèges et les intérêts des psychologues et fait la promotion de leur expertise et de leur identité professionnelle. Il est indispensable d’adhérer à l’Association des psychologues afin de vous protéger et de desservir vos intérêts. Nous défendons un ensemble considérable de dossiers qui vous concernent de près.  Nous vous offrons une gamme importante de services, dont la liste vous sera communiquée par écrit lorsque vous demandez à devenir membre. N’hésitez pas à nous contacter.